Vendée globe
Pendant près de trois mois nous avons suivi la course mythique du Vendée Globe ! Et quelle belle édition…Trente-trois skippers dont six femmes nous ont fait rêver sur leurs bateaux de 18 mètres de long. Nous avons découvert la beauté de ce sport et avons admiré la simplicité et l’humilité des marins face aux éléments.
Chaque matin un élève était chargé de mettre à jour notre panneau du Vendée globe : le décompte des jours, le classement des 6 premiers et la position de deux bateaux sur la carte. Nous regardions les « vendée flash », résumés quotidiens des images embarquées des marins, et discutions de l’avancée de la course. Certains élèves ont même participé à la course virtuelle sur l’application « Virtual Regatta ».
Nous nous sommes particulièrement intéressés à deux skippers : Charlie Dalin sur son bateau à foils (ailes qui créent une force de portance avec la vitesse) et Clarisse Crémer sur son bateau à dérive (sans foils).
En classe cela a été l’occasion de convertir des mille nautiques en kilomètres, comparer la vitesse des bateaux, comprendre la raison des abandons, suivre la météo etc. Nous nous sommes même inspirés de la course en arts plastiques.
C’est au bout de 80 jours de course que les premiers sont arrivés dans la nuit. Un finish incroyable que nous avons revécu en classe au petit matin.
Ce projet a sans doute éveillé des vocations ou des rêves…rendez-vous dans quatre ans !
Chaque matin un élève était chargé de mettre à jour notre panneau du Vendée globe : le décompte des jours, le classement des 6 premiers et la position de deux bateaux sur la carte. Nous regardions les « vendée flash », résumés quotidiens des images embarquées des marins, et discutions de l’avancée de la course. Certains élèves ont même participé à la course virtuelle sur l’application « Virtual Regatta ».
Nous nous sommes particulièrement intéressés à deux skippers : Charlie Dalin sur son bateau à foils (ailes qui créent une force de portance avec la vitesse) et Clarisse Crémer sur son bateau à dérive (sans foils).
En classe cela a été l’occasion de convertir des mille nautiques en kilomètres, comparer la vitesse des bateaux, comprendre la raison des abandons, suivre la météo etc. Nous nous sommes même inspirés de la course en arts plastiques.
C’est au bout de 80 jours de course que les premiers sont arrivés dans la nuit. Un finish incroyable que nous avons revécu en classe au petit matin.
Ce projet a sans doute éveillé des vocations ou des rêves…rendez-vous dans quatre ans !